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Contributeurs
Lyonnais de cœur, Parisien d'adoption, Grégoire aime les beaux endroits, les surprises, les parenthèses, les paradoxes, les pauses, la nature, les spectacles, la poésie du quotidien, l'extraordinaire ordinaire. Marketeur, entrepreneur et créatif, il aurait rêvé (dans une autre vie ?) être nez, designer, boulanger ou typographe. Epicurien, amoureux des mots et de l'image, Grégoire est mordu d'hôtellerie. Il aime s'échapper dans de nouveaux lieux qui rythment ses vacances et incarnent ses week-ends les plus chanceux. Il aime partager ses découvertes et faire l'éloge de cette hospitalité qui le passionne. Une hospitalité d'émotion, curieuse et singulière.
Formée à la diplomatie internationale, l'appel de la bonne chère l'a vite rattrapée. Bercée par les médias et élevée dans la « bonne bouffe », elle voulait déjà tout savoir et tout goûter, quand elle était haute comme trois pommes. Sa passion pour la gastronomie, elle l'a cultivée seule, derrière les fourneaux ou le nez dans les bouquins, menant ses propres enquêtes. Auteure culinaire depuis 2 ans parallèlement à son activité de journaliste TV, elle partage sur son blog et compte Instagram « Sled & Poivre » ses nouvelles découvertes, ses adresses préférées, ses rencontres marquantes et ses recettes personnelles. Parisienne décomplexée, une partie du cœur dans le Sud-Ouest, curieuse invétérée, avide d'en connaître toujours plus, elle sillonne la France chaque semaine, à la rencontre de chefs, d'artisans, de producteurs. À la recherche de nouvelles tables, de nouvelles expériences, de nouvelles émotions.
Après avoir longtemps chroniqué pour L'Équipe les stars de la balle jaune ou de la main au panier, Stéphane Méjanès est tombé dans la casserole après une rencontre improbable avec le gratin du 50 Best dans une forêt de Laponie finlandaise. Depuis 2012, il raconte la gastronomie dans toutes ses dimensions, pour une alimentation durable de la graine à la poubelle. Son repas idéal est toujours le prochain, à condition qu'il y ait du pâté-croûte, des oursins, des oeufs mayo, de la poutargue, des rognons, des agrumes et du poivre. Mais il se contenterait tout aussi bien de coquillettes au beurre (beaucoup de beurre) avec du gruyère râpé (beaucoup de gruyère râpé) qui fait des fils. Journaliste indépendant, il est l'auteur d'un pamphlet sur la critique gastronomique, « Tailler une plume » (Éditions de l'Épure), publié en 2019, et a écrit notamment le livre « Le Chabichou Courchevel Stéphane Buron » (Éditions Glénat), sorti en novembre 2021. Il est aussi auteur et co-animateur du podcast Pop Chef de Gastronogeek. Initiateur avec Guillaume Gomez et Tiptoque du mouvement « Les Chefs avec les Soignants », il a été distingué pour cela du Prix de la Solidarité La Liste 2021. À titre personnel, il a reçu la Plume d'Or des Grandes Tables du Monde en 2019 et le Prix Amunategui-Curnonsky de l'APCIG en 2018. (Photo © Stéphane Bahic.)
Gourmande invétérée depuis qu’elle est en âge de tenir une cuillère, Coline est aussi curieuse du contenu de son assiette que de l'histoire de celui ou celle qui l'a conçue. Si toute échéance administrative lui semble mystérieusement impossible à retenir, sa mémoire fonctionne en revanche à merveille quand il s’agit de se rappeler le nom du moindre restau testé ces dix dernières années (et ça en fait un paquet). Après avoir travaillé quelques temps pour My Little Paris, elle a monté en 2014 « Tablées Cachées » avec une amie à Paris : des dîners planqués lors desquels elles conviaient un jeune chef à venir cuisiner dans des lieux insolites, pour de grandes tablées d’inconnus, dont le seul point commun était d’être de sacrés épicuriens. Journaliste indépendante, elle promène désormais sa plume entre Paris où elle a grandi, et le Sud-Ouest, à l’affût des tendances culinaires et de nouvelles adresses gourmandes. Elle écrit pour différents médias, essentiellement autour de thématiques liées à la gastronomie, mais aussi à l’environnement, aux femmes, ou encore à l’artisanat. Début 2022, elle a lancé sa newsletter, Les Belles Personnes, où elle partage deux fois par mois des rencontres inspirantes avec des personnes passionnées, issues d'univers variés (gastronomie, artisanat, agriculture, environnement...)
Il grandit entre Rome, où il apprend la photo, et Paris où fait l'expérience des maisons de luxe, chez un fournisseur d'étoffes à destination des tailleurs et autres maisons de couture. Il est imprégné de cette lenteur que l'on perçoit dans les Sartorie (ateliers de couture). Il fonde en juin 2020 à Paris la marque de vêtements pour homme Butticé avec la volonté de partager sa vision d'un style masculin audacieux qui reste élégant et immuable dans le temps, avec pièces dessinées à Paris et réalisées à la main à Naples de façon exclusivement artisanale dans de somptueuses matières premières. Son œil attentif pour les détails des beaux vêtements s'aiguise en observant l'élégance de ceux qui les portent. Créateur du blog Gentleman Chemistry et du Podcast Gentleman Chemistry, il contribue également avec ses contenus photographiques et rédactionnels à la presse masculine (The Rake, Dandy Magazine, Monsieur, Arbiter...).
Amoureux des belles choses et des bonnes tables, auteur de « Paris pour les hommes » (2011), « Paris de tous les plaisirs » (2012) et « Bistrots de Paris » (2016), il crée en 2013 le magazine des Grands Ducs, mettant en avant l'art de vivre à la française, sans esprit de sérieux. Ex-rédacteur en chef de Time Out Paris, sur son acte de mariage figure la profession de « guide touristique », ce qui finalement lui va plutôt bien. Il aime Paris, la cuisine, le champagne, les belles femmes, les automobiles de style, et se plaît à partager avec ses lecteurs les petits plaisirs de la vie en moins de 300 mots.
Depuis toujours, elle s’intéresse à tout ce qui est tombé en désuétude. Des gaufrettes fourrées à la vanille au style néogothique (et plus largement l'art du XIXe siècle), elle persiste à trouver un charme à ce qu’on n'estime plus. Enfant, avant de s’installer en France, elle a voyagé ; depuis, elle se promène dans les rues parisiennes et sur les chemins du Var, partout en France et en Europe quand elle le peut. Son obsession pour les oubliés de l’histoire de l'art (et un peu pour l'érotisme) ne l’empêche pas d’observer le monde qui l’entoure, et d’en dresser férocement de joyeux portraits qu’elle se réserve.
De sa famille lyonnaise, Il a reçu le goût des belles étoffes, de la cuisine bourgeoise et la passion des sports mécaniques. Son parcours classique au sein de grandes entreprises et d’une agence de prospective, a développé son intérêt de conjuguer la création et le marketing. Depuis, il fait travailler sa tête et ses mains en développant sa propre marque de vêtements masculins portant son nom, propose ses services de planning stratégique aux marques et agences et collabore à différents médias. Plus de style et moins de mode tel sera toujours sa devise de la garde-robe chez l’homme.
Vraie parisienne, viscéralement attachée à sa ville, elle s'intéresse à tout ce qui a trait à l'alimentation et au bien vivre ! Du bouiboui de quartier où le jambon-beurre croustille sous la dent, en passant par le pâté de tête, le Paris-Brest ou encore les pad thaï, elle a à coeur de mettre en valeur les bons produits et le travail de ceux qui les réalisent. Tombée dans la marmite il y a bien longtemps, curieuse de tout, elle aime arpenter Paris au gré de ses envies et de sa gourmandise qu'elle vous fait partager ici. Quand elle ne se promène pas dans la capitale, il y a de grandes chances que vous la retrouviez aux confins de l' Asie du Sud Est, son autre passion.
Née dans une famille d’explorateurs, Juliana a plongé très tôt dans les récits de Moitessier, Kerouac, Chatwin, Tesson… Elle aurait adoré être la co-équipière de Nicolas Bouvier sur les routes d’Europe centrale ou photographe auprès d’Ella Maillart sur les steppes asiatiques. Elle a arpenté une cinquantaine de pays, à pied, à vélo, à moto, en tuk-tuk, en train, mais aussi en yacht, en 4×4 et en jet privé. Mille-feuille multi-facettes, hédoniste, cette parisienne aux stilettos de vent vous emmènera dans ses bagages aux quatre coins de la planète.
C'est vers le journalisme sportif qu'elle se dirige d'abord, puis les aléas de la vie la mènent vers la gastronomie. Elle complète ses connaissances théoriques en entrant à l'école Ferrandi où elle fait ses stages auprès de grands chefs étoilés : Antoine Westermann et Pierre Gagnaire, puis intègre sa première rédaction au sein de l'équipe de François-Régis Gaudry chez Très Très Bon, travaille pour L'Express Dix et On va déguster la France, avant de trimballer sa faim constante chez My Little Paris. Elle lance la newsletter Qu'est-ce qu'on mange ? et monte la Foodschoo, un festival autour du bien manger. Depuis quelques mois elle s'est lancée un nouveau défi : Culs-de-poule, le média des bonnes femmes et de la bonne bouffe. Ou comment valoriser le quotidien des femmes qui exercent un métier de bouche, leur travail et leurs produits.
Enfant des années 1990, Antoine a usé ses culottes courtes à l’arrière des Renault parentales. Malgré tout, allez savoir pourquoi, la passion des autos l’a piqué très fort et très tôt. Permis en poche, il s’est empressé d’acheter et de rouler à bord de voitures dans ses moyens - limités - d’étudiant. Des autos qu’on commençait à peine à appeler youngtimers... Comme il fallait aussi travailler, quoi de plus naturel que de se diriger vers le journalisme automobile ? Pour lui, un vieux numéro d’Automobiles Classiques est élevé au rang de bible et les bizarreries à quatre roues de la péninsule italienne partageront sa vie pour l’éternité et au-delà.
Contributeur (beaucoup trop!) (ir)régulier des GD, Aymeric Mantoux participe à son développement depuis les débuts de l'aventure, en y consacrant (au moins) ses soirs et ses week-ends. Sinon, dans le civil, il est éditeur, à la tête des Editions Cercle d'Art. Il n'y a donc rien d'étonnant à ce qu'il nous livre des contributions sur le sujet, ou sur d'autres, puisque auparavant il était (mais on l'est pour la vie, non?) journaliste. Il a notamment été Rédacteur en Chef aux Editions Jalou.
Parisien amateur de mobilier XXème et de décoration, Bertrand Waldbillig a dédié ses débuts de carrière aux mécaniques de pointe. Celles des bolides de course vintage et celles, plus feutrées, des pièces de haute horlogerie. Attaché de presse chez Peter Auto pendant six ans, il y passe l'essentiel de son temps sur les circuits et en rallye avant de migrer vers le pôle horloger de l'agence, au service de grandes maisons comme Richard Mille ou Audemars Piguet. Il franchit le Rubicon il y a quelques années et devient journaliste… pour Rétroviseur, l'Officiel Hommes et aujourd'hui L’Optimum, en charge des pages montres. Et bien sûr les Grands Ducs !
De New York à Paris, en passant par Londres, elle a signé durant 18 ans les pages « Styles de Vie » du très chic magazine Automobiles Classiques. Inlassable dénicheuse d’objets, amoureuse du beau et joyeuse épicurienne, Caroline traque désormais les tendances tous azimuts pour Les Echos Week End et Série Limitée, L'Equipe, Monsieur, Auto Heroes, Rumporter, et désormais Les Grands Ducs. Des hommes et des femmes passionnés qui vous embarquent dans des histoires où le goût, le style et l’amour du travail bien fait se lisent en filigrane... Tout ce qu'elle aime !
Insatiablement curieux et amoureux des œuvres et des artistes, Charles navigue d’une exposition à une foire et de collections en ateliers d’artistes, guidé par son obsession pour l’art. Spécialisé dans les années 1960-1970, Il aime le mélange des mouvements, des formes et des esthétiques. Son œil s’arrête aussi bien sur un tableau de Balthus que sur un bronze de César ou de Louise Bourgeois, une performance de Gina Pane où une installation de Mona Hatoum.
Biberonné à l’air pur de ses Vosges natales, Damien a pris le temps de se faire une bonne image d’Epinal avant que les voyages ne deviennent son obstination. À peine remis d’une aventure, il imagine déjà ses prochaines sorties hors des sentiers battus. Ses souvenirs en sac à dos les plus marquants ? Les claques visuelles infligées par le désert de l’Atacama (Chili), les routes de Nouvelle-Zélande ou le Salar d’Uyuni (Bolivie), un bougna savamment préparé par des Kanaks sur l’Île des Pins, les visages andins des argentins de la Quebrada de Humahuaca, la quiétude islandaise, l’enivrante atmosphère de la Grosse Pomme (…), mais aussi la beauté de Paris, qu’il a appris à tant aimer.
Rêveuse plus que cartésienne, Esther se projette depuis l’enfance dans un monde qui lui ressemble et dont l’unique but est de frémir. Se sentir vivant, très fort, voilà bien une bonne façon d’user du temps imparti dans nos vies. L’art est non sa religion, mais son mode de vie. Un art qui se fait tout autant dépouillé que baroque et qui au-delà d’être un snobisme est surtout un art de vivre : le beau et le bon. La photographie qu’elle pratique depuis de nombreuses années en autodidacte est sa grande passion, inspirée des natures mortes du XVIIIe siècle. Si elle donne vie à son univers intime en photographie, elle trouve aussi par les mots un moyen privilégié d’expression personnelle et authentique.
Citadin dans l'allure mais attaché à ses racines, Frédéric Brun est un inlassable curieux. Ce provençal a été durant plus de quinze ans le collaborateur d'hommes politiques et d'industriels, avec, en parallèle, une activité de chroniqueur (voyages, littérature, art moderne et contemporain, cinéma, automobile, art de vivre...) et d'auteur, publiant sur le cinéma ou l'automobile, dont Frank Sinatra, Cary Grant, Steve McQueen, Aston Martin et plusieurs livres sur l'univers de James Bond. Devenu journaliste, il est notamment rédacteur en chef d'un magazine d'horlogerie.
Pratiquant un métier à ramifications artistiques dans le cinéma. En perpétuelle observation de choses pouvant avoir un intérêt architectural, artistique ou historique. Si la poésie s’en mêle... un sujet est possible. Un goût certain pour l’espace, l’eau, le silence et l'intemporalité de la nature avec laquelle l’homme peut s’épanouir sans limite. Préférant tout ce qui se rapporte à l’ancien avec un réel intérêt pour l’esthétique des lignes, des fabrications et des couleurs. Corollaire à tout ceci, il se déplace, de préférence, en auto, vélo, ou en bateau d’un âge certain.
Originaire du Sud de la France, Johanna a gardé la nostalgie de ses racines italiennes et des traditions provençales. Venue à Paris pour étudier l'Histoire de l'Art à la Sorbonne, elle en profite pour se former à l’analyse de la mise en scène, puis décroche le diplôme de commissaire-priseur. Après avoir été formée dans la maison de ventes anglo-saxonne Sotheby’s, elle officie chez Piasa au sein du département de Design Italien durant trois ans. Elle co-fonde en 2018 un site internet, Lebensformen, à la croisée d’une galerie en ligne et d’une revue culturelle, puis se lance à son compte en 2019 en tant que Consultante Design (notamment chez Amélie, Maison d'Art) et garde toujours un œil sur le cinéma. Pour les Grands Ducs, elle va à la rencontre de ceux et celles qui font l’actualité culturelle.
Elle n’aime ni les cigarettes, ni l’alcool, surtout pas la drogue, certes les garçons ont son assentiment et parfois ses sentiments, mais ce qui la fait vibrer c’est l’art sous toutes ses formes. Elle court les musées, les expositions, les Biennales et les vernissages, certaines mondanités ont du bon et le monde de l’art contemporain n’a pour elle plus aucun secret. A la Galerie Perrotin, elle fait ses preuves, des preuves d’amour et de passion pour célébrer Veilhan, Murakami, Othoniel et tant d’autres. Elle n’a de cesse de vous entraîner à ses côtés pour vous faire découvrir les artistes de demain.
Parisienne dans l’âme, Laure s’intéresse à l’art dès sa plus tendre enfance. Initiée par ses parents, véritables passionnés dans le domaine, elle observe tout ce qui l’entoure et s’attache à toujours trouver « le beau » au sein de sa vie quotidienne. Après un parcours académique classique en histoire de l’art qui l’a conduit à explorer l’art des XIXe et XXe siècles, elle se lance dans la création d’expositions et découvre très vite le monde des musées et du journalisme. Son regard, jeune et critique s’aiguise au fil du temps et de ses voyages…
Communicante aguerrie, elle galope depuis 15 ans avec gourmandise dans l'univers du vin et de la bonne chère, n'a pour religion que celle du cochon et voue un culte éternel au travail du vigneron - elle aime d'ailleurs rappeler que le vin c'est l'école de l'humilité. Son côté épicurieux la mène régulièrement à la découverte de lieux civilisés à la gouaille enchanteresse et aux flacons qui rendent heureux. Sa deuxième passion, l'automobile, la conduit chaque année avec excitation aux 24h de la prestigieuse course sarthoise, car comme elle le dit, "au Mans tout peut arriver"...
Morgan cherche l’or du temps, celui de l’onirisme qui naît en pré-sommeil ou à l’éveil et fait jaillir mille songes. Il se passionne de brumes délicieuses et de lueurs de bougies. Auteur, compositeur et gastronome, son univers est celui d’un théâtre de papier, fragile et nomade. Il raconte l’histoire en cuisine comme le souvenir d’un temps perdu, époque de justes intentions et d’appétits baroques. Il croit à la création par le voyage de l’esprit, dans le temps comme dans l’ailleurs. Pour lui cuisiner n’est pas seulement une affaire de goût, c’est d’avantage une quête des sens.
Comme elle adore le bruit de la mer, elle a jeté l’ancre en Auvergne pour rompre avec la vie trépidante de journaliste à Paris, New-York, Bruxelles. Elle rêvait d’être reporter sportif et a sacrifié dix ans de jeunesse au chevet de l’imaginaire bureaucratique des Eurocrates qu’elle balaie en créant, en 1976, Sail For Europe, qui aligne le voilier Traité de Rome dans la Whitbread, ancêtre de la Volvo race. Suivra un tour du monde puis 25 ans de journalisme aux Echos avec une parenthèse en 2004-2005 pour créer Ultreïa Objectif nature, magazine d’aventure. Mais c’est à Saint-Aubin-sur mer que sont ses racines, face à la Manche et sa palette de couleurs.
Des années 1940 et ses ensembliers-décorateurs au Grand Style français, du faste 1970 façon Henri Samuel à la démesure de Gunther Sachs, de ces intérieurs de collectionneurs où vivre se fait art, elle n’a rien connu. Pourtant, elle est fascinée par ce luxe tour à tour discret et ostentatoire, élégant et raffiné. Là où se rencontrent plastique et bronze, bois et métal, là où se risquent les artistes, designers et architectes. Le goût du mélange, voilà ce qui lui plaît.
Notre ami s'est offert le luxe de vivre passionnellement et ne goûte qu'aux meilleurs. Archétype du "malt absolu", son goût pour le bon, le touche au gré des marées. Pris par la soif...de découvertes, il empruntera la route du scotch en Ecosse. On perd sa trace à Dublin, mais à Louisville dans le Kentucky il réapparaît. Comme un bon single malt, votre serviteur tourne la roue des arômes, admirant les robes et écoutant les cœurs de distillation battre les papilles. Vives ou herbacés, fruités ou végétales ils partagent ses notes de dégustations, pour les Grands Ducs « épicurieux » par nature.